12 sociétaires de l’ASPTT Poitiers Cyclo affrontent une nouvelle fois les sommets alpestres.
Toujours plus haut, toujours plus beau..
Que dire de ce périple à Vélo, plus exactement de cette épreuve d’endurance dans les Alpes du sud ,sinon la découverte de paysages grandioses , magnifiques, imposants ou se faufilent de petites routes sauvages, qui pour une d’entre elles nous a conduit sur le passage routier le plus haut d’Europe avec la « cime de la Bonnette « à une altitude de 2802 m.
Que dire de la découverte de ces nombreux cols routiers parmi les plus populaires du cyclisme mais aussi parmi les plus rudes (l’Izoard, La Madeleine, Le Galibier, l’Alpe d’huez) pour n’en citer que quelques uns.
Que dire de tous ces cols dont les routes n’en finissent pas d’atteindre le sommet et qui mettent à rude épreuve votre musculature et parfois votre moral jusqu’à vous faire demander parfois, la raison qui vous pousse a cette souffrance.
Parmi ces monstres de longueur et de difficultés je citerai à titre d’exemple :
– Pour ne parler que des plus longs : le col de la Bonnette et sa Cime et le col d’Agnel qui à eux deux réunissent près de 65 km de montée avec un final à 15 % pour la Cime de la Bonnette.
– Pour ne parler que des plus populaires qui marquent chaque année ou presque, l’histoire du cyclisme : l’Izoard et sa stèle en hommage à Fausto Coppi et à Louison Bobet deux des légendes du tour, La Madeleine et le Granon remarquables de longueur et de difficultés, et bien sur l’incontournable Alpe d’Huez avec ses 21 virages qui scellent souvent la victoire finale dans le tour de France.
Que dire de ces marmottes qui coupent la route pouvant mettre votre sécurité en jeu dans les descentes, de ces dizaines de cyclistes de toutes nationalités, de tous niveaux qui montent et qui descendent du soir au matin..
Que dire, que dire ,sinon qu’à travers tout ce que je viens d’évoquer tout en chevauchant mon cher vélo, j’ai connu au cours de cette semaine le plaisir, la souffrance dans l’ascension de l’Izoard et l’inquiétude qui en a suivie mais également une grande satisfaction personnelle et la fierté d’avoir réussi sans oublier le partage et la convivialité au sein de notre petit groupe et bien sur j’ajouterai à tout cela, un grand MERCI à Daniel et Antoine, les chevilles ouvrières de ce beau projet.
Christian.
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